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Dystopia

Trois retours pour Marchebranche

Marchebranche, le jeu de rôle d'aventures initiatiques dans un monde de forêts en clair-obscur, de Thomas Munier a déjà quelques échos !

Un retour d'expérience par Elise Pages, quand le jeu était encore en développement :

« L’univers, inspiré de Ghibli, merveilleux et sombre à la fois, m’a permis une créativité énorme dans les personnages et les quêtes. Chaque enquête et mission avait plusieurs fins possibles, tout était en nuances de gris et chaque choix influait profondément sur le monde. [...] Ensemble, avec les joueuses, on a pu explorer : les peurs enfantines, le rapport avec la mort, la corruption politique, la façon dont on laisse notre passé nous définir, le rapport à l’autre… le tout dans une atmosphère féerique obscure peuplée d’arbres et d’êtres fantasques. »

Côme Martin en parlait également dans sa newsletter hebdomadaire :

« Le tout est présenté (aux côtés de superbes illustrations d’Evlyn Moreau) comme une énorme boîte à outils, comme Thomas sait le faire depuis des années maintenant : des règles très simples et très narratives agrémentées de tonnes de conseils et de « tables » aléatoires (davantage des fiches, en réalité) pour construire des campagnes sur mesure. Ça incite franchement à repartir à l’exploration de Millevaux et tout est fait pour qu’on ait immédiatement envie de personnaliser le jeu à sa mesure ! »

Sur la chaîne Suck my Dice, Morora en a fait une chronique très fouillée :
 

 

Le jeu est toujours en précommande jusqu'à la fin du mois par ici. Pour une parution prévue en mai dans vos boutiques et librairies préférées.

Une dernière idée comme ça : une serrure pour regarder dans les maisons des autres.

Marchebranche au cœur

Une page de lore : La forêt

Un coup d’œil à l’intérieur de Marchebranche un jeu de rôles d'aventures initiatiques dans un monde de forêts en clair-obscur de Thomas Munier, pour avoir un aperçu de la maquette et des illustrations, respectivement réalisées par Laure Afchain et Evlyn Moreau.

Le trait d’Evlyn a été une évidence pour nous, tant son univers est à la croisée de celui de Thomas, à la fois naïf, étrange et unique. On peut retrouver son travail sur son patreon.

Une page de règles : Moisissures

Le jeu est en précommande jusqu’au 30 avril sur le dystosite. Pour des raisons de logistique, les exemplaires ne seront pas dédicacés.

Le livre paraîtra au mois de mai, commandables dans vos boutiques et librairies préférées.

Si vous êtes libraire, bibliothécaire, journaliste, blogueur ou blogueuse, vous pouvez demander des épreuves en PDF, nous nous ferons un plaisir de vous les adresser !

Feuille de Personnage didactiqueVous pouvez aussi en profiter pour découvrir les autres jeux de rôle de la collection :
Bois Dormant, vivre avec les ronces, de Melville
La Clé des nuages / Clé des songes, de kF et Côme Martin
Cités abîmés de Côme Martin

Les frais de port pour la France et l'UE sont à 3 euros quel que soit le volume de votre commande !

Une page de tables aléatoires : Fiche n°2

Une dernière idée comme ça : les puces des couturières de la mémoire. On y trouve toutes sortes de tissus et d'outils pour fabriquer des costumes chargés de mémoire.

Marchebranche, la précommande

Nous sommes très heureux d'ouvrir la précommande pour le nouveau titre de la collection Jydérie : Marchebranche, un jeu de rôle d’aventures initiatiques dans un monde de forêts en clair-obscur, de Thomas Munier et illustré par Evlyn Moreau, avec Laure Afchain à la maquette.

Marchebranche est un jeu médiéval-poétique où on incarne des pèlerins amnésiques à la recherche de leur pays natal. Les personnages vont de communauté en communauté rendre des services en échange de cartes du tarot de l'oubli, qui leur rendent des souvenirs. Le 6e souvenir, ils le savent, sera celui du pays natal.

C'est une ambiance de contes, dans ce qu'ils peuvent avoir de terrible et naïf, imprégnée des grands thèmes de l’univers de Millevaux (l’univers récurrent de Thomas Munier) : la forêt, la ruine, l'oubli, l'égrégore, l'emprise et les horlas.

Le jeu fonctionne avec un MJ et plusieurs joueuses, un dé à six faces et des tas de tables aléatoires !

Pour en savoir plus, il y a l'interview croisée de Thomas, Evlyn et Eugénie dans Le Fix.

Nous ouvrons les précommandes jusqu’au 30 avril sur le dystosite, pour une parution prévue en boutiques et librairies au mois de mai !

Une dernière idée comme ça : un papillon aux ailes de feuilles mortes.

 

Une chronique pour Histoire mythique de l'Amérique

Un retour de lecture sur Histoire mythique de l’Amérique de Lauric Guillaud par Geronimo :

« Les informations et explications sont nombreuses mais toujours claires. Que l'on adhère ou pas à ce qu'il démontre, ce livre est très instructif sur la colonisation, sur l'Indépendance, sur la religiosité des États-Unis et sur cet état d'esprit qui fait que les Américains sont encore, souvent, persuadés d'être là pour guider le monde. Après cette lecture, on comprend mieux les mouvements politiques tels que le Tea Party et les personnes qui ont permis l'arrivée au pouvoir d'un trublion qui risque bientôt d'être de nouveau élu. C'est un ouvrage à lire pour tenter de comprendre un peu mieux ce pays si étrange et plein de contradictions. »

La chronique intégrale est à retrouver sur les Chroniques de l’Imaginaire.

Anthologie 50 ans du GPI

A l'occasion de son cinquantième anniversaire, le Grand Prix de l'Imaginaire s'associe aux éditions du Bélial' pour publier une anthologie intitulée Archives du vertige, avec dix nouvelles de l'Imaginaire choisies parmi les lauréates d'un demi-siècle de GPI.

Et Lisa Tuttle est au sommaire ! Avec la nouvelle Le remède, extraite de l'anthologie Ainsi naissent les fantômes, choisie et traduite par Mélanie Fazi.

Tout le sommaire est à retrouver par ici.

Une chronique de plus pour Auto-Uchronia de Francis Berthelot

CM Deiana a lu et vibré avec Auto-Uchronia ou fugue en zut mineur de Francis Berthelot et le transmet dans cette très chouette chronique sur son site :

« Le pré requis du livre est simple tout en étant, de mon point de vue, vertigineux : une autobiographie puis un point, un choix, qui transforme le passé en uchronie, ce « et si » qui accompagne les soirées dépressives quand on passe la crise de la quarantaine, puis de la cinquantaine, etc, etc, etc.
Et si j’avais fait ça ?
Et si j’avais accepté d’aller en école d’art ? Et si j’avais tout de suite parlé de « ça » ? Et si j’avais fait mon coming-out ? Et si j’étais parti ? »

Une chronique pour Fournaise de Livia Llewellyn

Elodie Denis partage sa lecture brûlante de Fournaise de Livia Llewellyn, dans un texte dense et enthousiaste à retrouver ici.

« De la lave liquide, une œuvre insensée, noire et dévorante. Une forme exigeante au service d’un fond très psychanalytique, tissé d’obsessions et de visions vénéneuses qui m’ont semblé aussi fantasmagoriques que féminines et universelles – paradoxalement. »

Auto-Uchronia dans Bifrost !

Une très jolie chronique à propos d'Auto-Uchronia ou fugue en zut mineur de Francis Berthelot dans le dernier Bifrost, signée Eric Picholle :

« Ses admirateurs le savent depuis longtemps : Francis Berthelot est l'un des grands stylistes de l'Imaginaire français. Il nous revient ici avec une écriture légère et vibrante, un petit bonheur de lecture. Allez-y en confiance, ne serait-ce que pour le simple plaisir du verbe : c'est de la bonne came. »

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